Personnel scolaire des collèges: Mise à jour sur les connaissances autochtones

En septembre 2022, l’arbitre Kaplan a publié une lettre d’entente concernant la définition du savoir autochtone comme facteur ayant une incidence sur la nomination dans les plans de classification des emplois. Cette décision est entrée dans la convention collective 2021 à 2024 du personnel scolaire des CAAT. La décision de l’arbitre Kaplan précisait que la définition du savoir autochtone serait fondée sur une consultation respectueuse avec des aînés autochtones et ordonnait que les parties désignent d’un commun accord les aînés autochtones qui seraient consultés.

L’OPSEU/SEFPO et le CEC s’engagent à faire en sorte que la définition du savoir autochtone et l’application de ce facteur à la rémunération du personnel scolaire soient fondées sur des consultations avec des peuples autochtones, métis et inuits. À cet égard, nous convenons que l’identification et la sélection des aînés autochtones doivent elles aussi faire l’objet de consultations. À cette fin, le CEC et l’OPSEU/SEFPO ont engagé Claudette Commanda, aînée de la Première nation Anishnaabe (Algonquin), et l’arbitre Michelle Flaherty pour animer conjointement les discussions et le processus de consultation. Notre objectif est d’établir un cercle d’aînés, dont l’effectif et le mandat sont basés sur la consultation et sont conformes au principe « rien sur nous sans nous ».

L’OPSEU/SEFPO et le CEC se sont engagés à trouver une voie à suivre opportune, équitable et culturellement adaptée.

En solidarité,

Cadre divisionnaire des CAAT-A

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