Les policiers, pompiers et techniciens ambulanciers souffrant de stress post-traumatique n’auront plus à prouver le lien entre ce trouble et les tragédies qu’ils vivent dans le quotidien de leur travail, contribuant à aplanir un obstacle majeur à un traitement prompt. Les députés provinciaux de tous les partis ont adopté, à l’unanimité, une loi reconnaissant ce trouble à titre de maladie professionnelle, ce qui, espèrent les défenseurs, contribuera à atténuer la vague de suicides parmi les intervenants d'urgence.
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